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Au quatrième trimestre 2021, le taux de chômage diminue de 0,6 point à 7,4 %
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Au quatrième trimestre 2021, le nombre de chômeurs au sens du BIT diminue de 189 000 par rapport au trimestre précédent, à 2,2 millions de personnes. Le taux diminue ainsi de 0,6 point à 7,4 % de la population active en France (hors Mayotte). Il est inférieur de 0,8 point à son niveau d’avant-crise (fin 2019) et à son plus bas niveau depuis 2008, si l’on excepte la baisse ponctuelle en « trompe-l’œil » du printemps 2020, liée à la crise sanitaire. |
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La profonde mutation du marché du travail en France
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Le marché du travail change en profondeur. Les créations d’emplois sont très nombreuses, le taux de chômage recule mais le taux d’emplois vacants est à un niveau historiquement élevé. Ce paradoxe peut trduire un changement structurel de l’économie reflétant une complémentarité des innovations et aussi une hausse très rapide des créations d’entreprises. La crise sanitaire aurait ainsi accéléré les ruptures. C’est une bonne nouvelle.
A lire sur le sujet :
« Ce qui surprend, ce ne sont pas les chiffres du chômage, mais les créations d’emplois »
Plus de salariés pour produire autant : l’étrange dynamique de l’emploi
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L’emploi des seniors en France
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En France, le taux d’emploi des 55 ans et plus augmente continument mais il demeure faible en comparaison européenne après 60 ans. Outre un âge d’ouverture des droits à la retraite relativement précoce, d’autres conditions liées à l’offre de travail des seniors peuvent expliquer cette moindre activité : pénibilité, faibles incitations financières. Côté demande de travail des entreprises, l’écart (réel ou perçu) entre productivité et rémunération et des discriminations doivent être mentionnés. |
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Réduire le non-emploi en France
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Oublions le taux de chômage. Si l’on veut mesurer et comparer la capacité d’un pays à employer ses ressources humaines, c’est au « non-emploi » qu’il faut s’intéresser: le nombre de personnes en âge de travailler n’ayant pas d’emploi, quelle qu’en soit la cause. |
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Égalité salariale : panorama des stratégies efficaces
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L’égalité salariale n’est toujours pas une réalité : l’écart de rémunération entre les femmes et les hommes est en moyenne de 14,1% au sein de l’Union européenne. Le sujet est d’autant plus important que la pandémie de coronavirus a eu de terribles conséquences dans le monde du travail en matière d’égalité femmes-hommes. Les auteurs dressent ici le portrait des différentes stratégies adoptées en faveur de l’égalité salariale.
A lire sur le sujet :
Egalité professionnelle entre les femmes et les hommes : 5 chantiers prioritaires pour aller plus loin
Une lacune dans le programme de l'UE en matière d'égalité des genres dans la rémunération liée aux performances
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Does telework reduce unequal impacts of the COVID-19 disaster on job losses across genders?
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The results of this study show that: 1) The COVID-19 disaster leads to a larger increase in unemployment, work absence, and layoff for female workers than their male counterparts. 2) Telework can not only effectively mitigate the negative effect of the COVID-19 disaster on the labor market, but also help to reduce the gender inequality in labor market outcomes via two means: i) the higher telework rate among female workers (i.e., endowment effect) and ii) the stronger marginal effect of telework on female workers (i.e., coefficient effect). |
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Le lourd impact du télétravail sur la santé des salariés
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Avec la généralisation du télétravail et l’isolement des travailleurs durant les différents confinements, la question de la santé au travail est devenue la troisième difficulté rencontrée par les salariés français en 2021. Une étude, publiée ce jeudi 17 février, révèle que leur santé psychique et physique s’est dégradée depuis le début de la crise sanitaire.
A lire sur le sujet :
Près de 7 français sur 10 veulent continuer à télétravailler
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Conditions de travail et travail durable: analyse fondée sur le cadre de la qualité de l’emploi
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Ce rapport phare résume les principales conclusions des recherches de la fondation européenne pour l'amélioration des conditions de vie et de travail menées au cours de la période 2017-2020. Cette analyse montre que, dans l’ensemble, la qualité de l’emploi dans l’Union s’améliore, quoique lentement. Néanmoins, tous les travailleurs n’en bénéficient pas dans la même mesure. En outre, le sexe, l’âge et le statut contractuel ont une incidence significative sur les conditions de travail d’une personne. La pandémie de COVID-19 a exacerbé ces tendances. |
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Droit du travail : 18 idées pour le prochain quinquennat
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Cette note envisage trois axes pour faire évoluer le droit du travail et permettre à l’économie française de faire face aux défis de demain. Premièrement, il s’agit de faciliter le dialogue entre entreprises et salariés quant à la durée du travail. Ensuite, il est nécessaire de permettre aux salariés de prendre part à la gestion et à l’administration de leurs entreprises. Enfin, au vu des récentes évolutions, il relève de l'intérêt de tous de mieux prendre en compte les nouvelles formes de travail.
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La gestion des salariés dans les groupes industriels : des logiques différenciées selon les filiales
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Sur les 2 millions de salariés des groupes industriels en 2019, un sur cinq est employé par une filiale non industrielle (commerce ou service). Pour 56 % de ces salariés, une convention collective de branche industrielle est appliquée. Pour un groupe industriel donné, plus la filiale est spécialisée et assume un lien fonctionnel avec les filiales industrielles, plus elle est susceptible d’appliquer une convention industrielle. Celles ci prévoient en général des dispositions salariales plus favorables : leur application se traduirait ainsi, pour ces postes, par un minimum moyen de grille salariale supérieur de 9 %. |
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Optimal minimum wages
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Ambitious minimum wages of 60% or more of the national mean wage are currently being debated in many countries. This column discusses the trade-off policymakers face when setting minimum wages. A quantitative spatial general equilibrium model predicts that the welfare-maximising minimum wage is higher than the employment-maximising minimum wage. Beyond 50% of the mean wage, increases in the minimum wage reduce employment at an increasing rate. Therefore, the optimal minimum wage depends on the social welfare function.
A lire sur le sujet !
Allemagne : vers un salaire minimum horaire à 12 euros brut en octobre
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Les pénuries de main-d’œuvre font rarement grimper les salaires
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Qui dit pénurie de compétences dit inflation salariale ? Le second volet de cette série est consacré à ces secteurs où les tensions de recrutement n’ont pas d’effet immédiat ni automatique sur la feuille de paie. (accès gratuit sur inscription à la newsletter)
A lire sur le sujet :
Les salaires sont-ils trop hauts ou trop bas en France ?
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Que donnent les tests européens autour de la semaine de quatre jours ?
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En Islande, en Espagne, au Royaume-Uni ou encore en Allemagne, d’autres expérimentations de semaine à quatre jours ont été menées ou sont en cours, avec différentes modalités. Le Premier ministre belge a annoncé mardi un projet de réforme du travail ouvrant la possibilité aux salariés qui le demandent de passer à la semaine de quatre jours, avec des journées de travail plus longues. Bien-être au travail, productivité, pollution… Les bienfaits de la semaine à quatre jours sont nombreux, mais peinent à convaincre la classe politique française. |
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Henri-IV, Louis-le-Grand et la méritocratie
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Rentreront-ils dans le rang? La modification annoncée de la procédure de recrutement des deux prestigieux lycées de la capitale est accusée par ses opposants de «briser l’excellence» et de faire le jeu du privé. L’analyse des données de l’académie de Paris va à l’encontre de ces arguments.
A lire sur le sujet :
Qu’est-ce que l’excellence ?
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Le travail, une valeur ?
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L’actualité a fait redécouvrir un débat récurrent sur la valeur du travail. L’examen de la littérature met en évidence l’imbrication de trois questions logiquement distinctes : - Le travail est-il une valeur ontologique comme source d’épanouissement individuel et de socialisation ou n’est-il qu’un lieu d’exploitation et d’aliénation ? - Le travail n’a-t-il d’existence sociale que s’il est rémunéré ou doit-on l’associer à toute production de valeurs d’usage ? - La valeur d’échange de la force de travail est-elle celle d’une marchandise ordinaire ou reflète-t-elle ‘un élément moral et historique’ qui lui donne une spécificité irréductible ?
A lire sur le sujet :
Quand le salaire s’affranchit du marché
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Has the willingness to work fallen during the Covid pandemic?
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This study examines the effect of the Covid pandemic on willingness to work along both the extensive and intensive margins of labor supply. The findings suggest that, as of 2021Q4, the labor market is tighter than suggested by the unemployment rate and the adverse labor supply effect of the pandemic is more pronounced than implied by the labor force participation rate. These discrepancies underscore the importance of taking into account the intensive margin for both labor market underutilization and potential labor supply. (accès gratuit depuis un poste Insee) |
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L’assurance maladie publique contribue fortement à la réduction des inégalités de revenu
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Le système d’assurance maladie public joue un rôle majeur dans la redistribution des revenus en France. L’assurance maladie publique contribue à hauteur de 20 % à la réduction des inégalités. Cet effet redistributif repose essentiellement sur les prestations, qui viennent s’ajouter au revenu disponible : elles représentent l’équivalent de près de 40 % du revenu disponible des 20 % les plus modestes. |
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Retraites : les propositions des candidats à la présidentielle
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Faut-il avancer ou reculer l’âge de départ à la retraite ? Les candidats à l’élection présidentielle ont pour la plupart présenté leurs propositions. L’âge légal est aujourd’hui de 62 ans pour les salariés nés après 1955. Le chef de l'État compte revenir à la charge, et augmenter l’âge de départ, comme Valérie Pécresse (LR) et Éric Zemmour (Reconquête). Marine Le Pen (RN) doit elle donner une position claire jeudi. À gauche, enfin, la retraite à 60 ans est aussi proposée par Jean-Luc Mélenchon (LFI), Nathalie Arthaud (LO) et Philippe Poutou (NPA). Tour d’horizon des propositions des candidats.
A lire sur le sujet :
Ne ressuscitons pas le régime universel de retraites
Soutenabilité financière des systèmes de retraite et adéquation des pensions en Europe.
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Quels taux de retour à l’emploi pour les demandeurs d’emploi formés ?
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60 % des demandeurs d'emploi ayant suivi pour la première fois une formation entre 2017 et 2019 ont occupé un emploi salarié dans le privé au cours des 18 mois suivant le début de cette formation. Dans plus de trois quarts des cas, il s’agit d’un contrat d’au moins 6 mois, voire d’un CDI. La probabilité de connaître un épisode d’emploi durant cet intervalle est de 9 points supérieure à celle de demandeurs d’emploi non formés ayant des caractéristiques observables similaires. L’écart entre formés et non-formés est notamment plus marqué pour les demandeurs d’emploi de plus de 50 ans et les inscrits à Pôle emploi depuis plus d’un an. . |
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